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Le deuil juif dans la religion juive

Lors d’un décès, le Judaïsme accorde une importance primordiale au deuil. Ce dernier est un moment qui permet aux proches du défunt d’exprimer librement le chagrin causé par la perte d’un être cher, de se débarrasser des tensions ressenties. Tout cela est réalisé dans le but d’échapper au désespoir, afin de pouvoir retourner sereinement aux habitudes de la vie quotidienne, après la mort d’un proche.

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Les différentes étapes du deuil juif

Le deuil débute dès la survenue du décès. Le premier stade du deuil est l’aninout : c’est la période entre le décès et l’enterrement, période durant laquelle la désolation est à son paroxysme. L’endeuillé est ici appelé onen. Ce dernier, ayant subi un choc suite à la découverte d’un proche, doit suivre certains gestes. Il doit dispenser des agréments de la vie sociale et ne doit pas réciter les prières et les bénédictions.

L’avelout est la seconde étape du deuil, commencement officiel du deuil. C’est la période des trois premiers jours après l’enterrement. Il s’agit d’un deuil éploré, le moment des lamentations. C’est l’étape où l’avel réalise réellement la gravité la perte qu’il vient de subir. Les endeuillés sont : les parents du défunt, sa fille et son fils, son frère et sa sœur et son/sa conjoint(e). Durant l’avelout, l’endeuillé retourne chez lui après l’inhumation et ne sort pas durant une semaine. Il ne doit pas non plus écouter de musique ni aller dans des événements festifs, à moins que sa présence ne soit obligatoire. L’avelout est aussi le moment de réciter le Kaddish.

Vient ensuite la chiva, période recouvrant les sept jours après les obsèques. Elle inclut donc l’avelout. C’est l’étape où l’endeuillé a le droit de s’ouvrir aux autres concernant la perte subie ; et d’être alors réconforté par ses proches. Cela permet de sortir du chagrin. Durant la chiva, les membres de la famille du défunt peuvent désormais recevoir les visiteurs. Dans la religion juive, venir chez un endeuillé afin de lui présenter ses condoléances et lui montrer sa compassion est appelé mitsva. Cette action est, dans le Judaïsme, considérée comme un commandement de la Bible. Il est à noter que durant une visite, les membres de la famille peuvent ignorer le visiteur : ce n’est pas de l’incivisme, c’est pour montrer la douleur encore présente. Le visiteur ne doit pas s’en plaindre. La mitsva a pour but principal de redonner un peu de couleurs à la vie de l’endeuillé, suite au grand fardeau qu’il vient de porter. C’est le moment où une personne a le plus besoin de soutien et de réconfort. Durant la chiva, le désespoir se dissipe peu à peu et l’endeuillé peut retrouver une vie normale.

Deuil Juif

La quatrième étape du deuil juif est le chelochim. Cette période inclut la chiva, car ce sont les trente jours après les funérailles. Cette étape est le moment où la personne en deuil quitte la maison pour familiariser à nouveau avec la société. Durant le chelochim, il est interdit de se faire couper les cheveux et les ongles, de prendre un bain (sauf, se laver par hygiène) et, pour les hommes, de se raser. Les endeuillés n’ont également pas le droit de se marier et d’assister à une seoudat mitsva.

La cinquième et dernière étape est le shannah. C’est l’année qui suit l’enterrement. Cette période consiste à retrouver le cours de vie normale et retourner alors aux occupations professionnelles. La dispense d’assisté à des événements mondains et joyeux reste toujours en règle. De ce fait, si les activités normales sont supprimées du proche durant une semaine, les événements festifs, eux, seront à éviter durant un an s’il s’agit de la perte du père ou de la mère, et à peu près trente jours si c’est la perte d’un autre membre de la famille.

Durant chaque prière, il est obligatoire de réciter le Kaddish. Lors d’un deuil juif, un endeuillé récite le Kaddish pour ses parents durant un an, soit douze mois. Cette période est considérée comme étant le moment où le défunt subit le jugement de Dieu, et il a besoin du soutien de ses proches. La récitation du Kaddish lors d’un deuil s’arrête à la date où la personne a quitté le monde des vivants.

Lors de l’anniversaire de la mort des parents, les Juifs célèbrent l’Yahrzeit. C’est une commémoration religieuse personnelle pour montrer le manque et la tristesse ressentis par la famille du défunt. Durant cette journée, les proches ne mangent pas de viande et ne boivent pas de vin, car ce sont des signes de fête et de joie, ce qui ne doit pas marquer ce jour particulier.

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